mercredi 20 mai 2009

Grosse mobilisation mercredi 20 mai pour la 2ème MARCHE POUR LA SANTE.


Grosse mobilisation mercredi 20 mai pour la 2ème MARCHE POUR LA SANTE.
120 personnes environ se sont rassemblées malgré les contraintes, pour faire barrage à ce projet nocif, contre l'incinération des déchets en cimenterie.


Il à été rappelé par le Conseiller Général Noël ALBIN, que les membres du Collectif ACME - Paillon Vert - Paillon Environnement - CDIA de l'Abadie - Pour La Terre - Association Val de Laghet - les Elus membres du collectif... travaillent ensemble, malgré les différentes sensibilités, pour rechercher des solutions globales aux problèmes soulevés par les transports et le brulage des déchets en cimenterie.

D’autres associations, des élus, des simples citoyens viendront grossir le collectif, il faut les recevoir au sein du collectif, car le problème est très loin d’être réglé et la pollution n’a pas de frontière, elle ne s’arrête pas aux limites des communes du Pays des Paillons.

Je profite de cette tribune pour remercier les 4 élus trinitaires présents ou représentés.

Cela démontre que la recherche de solutions pour un meilleur environnement est en marche à La Trinité.. Que derrière les faux semblants, les tartuferies, les choses prennent leurs places.

Travaillons, Travaillons…

14 commentaires:

Anonyme a dit…

120 personnes selon les organisateurs, ou selon la police?

Sylvie des gerles a dit…

DEMENAGEMENT,
lu dans les 3v

OU VA ALLER LA SERRE MUNICIPALE, C'EST UNE SURPRISE?

PAR CONTRE, POUR LE PIGEONNIER, IL Y A UNE BELLE PLACE AU FEU ROUGE DES GERLES, A COTE DU MONUMENT (EN BETON S'IL VOUS PLAIT) QUI RENFERME LES CONTENEURS DU TRI "SELECTIF".

TESTA Rosa, Riba Roussa a dit…

myopie,

il y a confusion entre le thème et le nombre!
ici il ne s'agit pas d'élection (statistiquement parlant)
mais de pollution,
c'est vrai que nous ne sommes pas tous convaincu?

XYZ a dit…

ENFIN,
Je respire, je pensais, à le lire, que le bulletin communal n’était réservé qu’au rédacteur en chef et directeur de la publication, mais non, notre adjoint à l’urbanisme, s’exprime sur un sujet grave. A le lire, nous ne doutons pas que ces quelques lignes ont dues être lues et relues par


Pour la commune il s’agit d’un acte important car il va figer///, pour les vingt années à venir, son développement dans le respect des objectifs suivants :
- Affirmer la qualité du cadre de vie
- Accélérer la réhabilitation du centre ville en encourageant son renouvellement
- - Développer les fonctions économiques en partageant le tissu artisanal dans le respect du voisinage résidentiel
- - Repenser les déplacements en intégrant les réseaux (tramway, train, bus) et individuels (voies vertes et mode doux).


SI VOUS VOUS ENNUYEZ?

LISEZ LE TEXTE DE L'ADJOINT À L'URBANISME,

VOUS POURREZ RIRE UN BON COUP,
MALGRÉ LES CORRECTIONS DE SON MAITRE À PENSER,
UN ALIGNEMENT DE BANALITÉS CONCERNANT LE DEVENIR DE LA COMMUNE
"Affirmer la qualité du cadre de vie"
COMME "LA FALAISE DE LA HONTE" PAR EXEMPLE, OU UNE OPÉRATION DE RÉSIDENCES EN BORDURE DE L'AUTOROUTE D'UN ASPECT PLUS QU'ETRANGE EN MATIÈRE D'INTÉGRATION AU SITE?
"Accélérer la réhabilitation du centre ville en encourageant son renouvellement"
C'EST BIEN DE DONNER UN PEU DE DYNAMISME À UNE ACTION, APRES BIENTOT 2 MANDATS, IL N'EST JAMAIS TROP TARD?
"Développer les fonctions économiques en partageant le tissu artisanal dans le respect du voisinage résidentiel"
LÀ ENCORE, LES EXEMPLES NE MANQUE PAS, COMME LA STATION D'ESSENCE D'UN SUPER MARCHÉ AU PIED DE TOUT UN QUARTIER, C'EST LE PARTAGE DU TISSU, LES ARTISANS NE DOIVENT PAS DÉSESPÉRER...
" Repenser les déplacements en intégrant les réseaux (tramway, train, bus) et individuels (voies vertes et mode doux). "
C'EST LE DÉLIRE, NOUS COMPRENONS POURQUOI LE MAITRE À PENSER A LAISSER LA PREMIERE PAGE À SON ADJOINT À L'URBANISME, EN LA MATIÈRE IL NOUS A DEJA FAIT UNE BELLE DÉMONSTRATION (RANTANPLAN?), MAIS LÀ IL N'Y A PLUS DE LIMITE, C'EST LA GRAND DÉLIRE,
" (voies vertes et mode doux) "
C'EST UN VRAI PROGRAMME ELECTORAL BON POUR UN TROISIÈME MANDAT, PENSEZ DONC, IL Y AVAIT UNE "VOIE VERT" TOUTE PRETE, C'ETAIT LE TRACÉ DE L'ANCIEN CANAL, PRÉSERVÉ À DRAP, VENDU À LA TRINITÉ, IL ME SEMBLE AUX ARTISANS DE LA FUON SANTA?
BIENTOT L'ADJOINT À L'AMÉNAGEMENT DE LA COMMUNE POURRA PEUT ÊTRE FAIRE UN ARTICLE SUR LE BLOG "échos trinitaires".

Finoun de Garquier a dit…

Bonjour,

Dans ma petite commune il y a une "équipe" qui "erre" depuis bientôt 2 mandats.
Quand elle est arrivée "aux affaires", elle a "erré" en vendant 6 logement de fonction à un "prometteur"privé...
Quand elle est arrivée "aux affaires", la friche Anatole France était déjà en "errance", et nous savons que cela continue...
Alors le proverbe Anatolien?
C'est un vrai proverbe trinitaire, une coutume en quelque sorte!

En fait, pour ceux qui ont de la mémoire, c'est un peu comme à Antibes et à l'Arian-Trinité, n'est ce pas badola!

Camillo, place don Fighiera a dit…

LES TROIS COULEURS

IL Y EN A QUI LES "PORTENT" PARCE QU'ILS SONT TOUT SIMPLEMENT ÉLUS DE LA RÉPUBLIQUE ET OPPOSANTS QUELQUES FOIS, ET POUR LA DÉFENSE DE L'ENVIRONNEMENT CERTAINEMENT.

IL Y EN A D'AUTRES QUI PREFERENT LA COCARDE AU PARE-BRISE DE LEUR AUTO, QUE L'ÉPOUSE PROMÈNE DE CI DE LÀ, C'EST UNE QUESTION DE CULTURE...

Jean de la Fuon Santa a dit…

J'ai bien lu et relu l'article de l'adjoint à l'urbanisme, d'abord j'ignorais qu'il y en avait un?
Par contre sont texte ou rien c'est un peu comme l'idée première que je me faisais sur le fait qu'il n'y eut point d'adjoint à l'urbanisme (il devrait un peu sourire sur la photo, sinon mettre un dessin?).
Enfin, le POS à offert bien des occasions d'être modifie, en premier lieu à la Fuon Santa, si j'ai un peu de mémoire c'était pas pour l'environnement et le " cadre de vie "...

Galina av. J. Poulet a dit…

SOMMES NOUS TOUS DES ANES?

IL Y A UN "PETIT GÉNIE" QUI NE PARLE QUE DES "ANES", C'EST SANS DOUTE LE SUJET SUR LEQUEL IL ENTEND LE MIEUX LES CHOSES, ET EN MÊME TEMPS OCCULTER SES "LOUPÉS"...

IL Y A CEUX QUI PREFERENT SE PENCHER SUR LES QUESTION ENVIRONNEMENTALES, LA VALLÉE DU PAILLON, OU BIEN ÉCONOMIQUES, LA FRICHE ANATOLE FRANCE PAR EXEMPLE...

DIVISER...

M. Bouffons, rue J. Boulet de Bresse a dit…

Quelle surprise, un adjoint écrit en première page du 3v,
mais au fait de quoi parle t-il?
Notre pauvre commune, qui perd des habitants (moins de 10 000 habitants), se limite au "centre ville", en fait 5 ou 6 hectares sur un total qui approche les 1500 hectares, quelle vision...
Que fait ont de la réserve naturelle du Plateau Tercier?
Que fait ont du site du fort de la Drette, panne d'idée?
Que fait ont du Val de Laghet, sont cours d'eau, ses hameaux, sa nature, ses potagers...
Que fait ont des oliviers qui se meurent, jamais un mot pour les quelques agriculteurs?
Que fait ont du chapiteau provisoire, continuer le cirque de la discorde?
je me souviens que notre "petit génie" avait osé écrire, et sans faute;
" côté travaux...ça bouge"
nous n'avons pas tous le même sens de l'humour, encore une question de culture...

Rose Marie, a dit…

le modem est bien installé à la trinité,
bravo Gilles.

XYZ a dit…

ANTIBES-ARIANE-TRINITE

Lieux des exploits de notre "héros",
à suivre...
Il peut écrire un dictionnaire ethnologique,
a force de lire et relire ces mots qui lui sont attribués,
il en devient une sorte "d'expert",
sauf que ces bouquins, dico...., sont accessibles à n'importe quel curieux de la richesse d'un mot,
notre "héros" a un tout autre problème,
ce n'est pas l'écriture,
ce n'est sûrement pas l'écriture,
mais bien sont incapacité (ANTIBES-ARIANE-TRINITE) à faire face aux VRAIS problèmes de la commune,
ENVIRONNEMENT
EMPLOI
EDUCATION
LOGEMENT
ETC...
heureusement que l'adjoint à l'urbanisme se met à l'écriture, sous la haute autorité de notre "héros",
vous voyez le résultat dans le 3V,
la banalité et la platitude à côté d'un tel texte seraient géniale,
tel maître, tel élève...
Bon Parpaing?

Rosette de la place Serra a dit…

Je dois vous dire que je rigole bien quand je lis "Antibes, l'Ariane et le Trinité", il y en a des histoires à raconter, d'ailleurs la moitié de la Trinité se les raconte et ris de celui qui cherche des petits mots que personne ne dit jamais pour nous faire croire qu'il est quelqu'un...
Enfin pour le reste il est moins fier, surtout s'il se souvient d'où il vient, du même endroit que tout les Trinitaires...
un peu de mémoire mon petit!

Naigret a dit…

A propos d'un artiste méconnu!


Or le blog Trinitoise manque par trop d'oeuvres majeures qui auraient expliqué ce moment décisif de la bande à Luky Luke. Pauvre en Pépinasso, elle ne présente au visiteur, dans les premières du blog, que des bribes et copies de récit. A moins qu'il n'en soit déjà familier, le public aura le plus grand mal à reconstituer l'histoire, tant les mots sont lourds, nous pouvons dire sans hésité "emparpaingné". Il verra un petit nombre de dessins copiés, plusieurs de premier ordre, certes, dont les relations et la provenance ne sont pas établies clairement.

Maitre cadoppi a dit…

Aux termes de l'article L. 2122-20 du code général des collectivités territoriales, les délégations données par le maire subsistent tant qu'elles ne sont pas rapportées. Dans la mesure où un arrêté de délégation, qui permet au maire de se décharger d'une partie de ses fonctions, est un acte de nature réglementaire non créateur de droit, le retrait des délégations consenties n'est pas considéré comme une sanction et n'a donc pas à être motivé au sens des dispositions de la loi n° 79-587 du 11 juillet 1979 relative à la motivation des actes administratifs et à l'amélioration des relations entre l'administration et le public (CE, 29 juin 1990, req. n° 86148). Pour autant, le juge administratif, saisi d'une contestation sur le bien-fondé d'un arrêté de retrait de délégation, est amené à contrôler les motifs qui ont guidé le maire dans sa décision (CE, 18 février 1998, req. n° 168760). Selon une jurisprudence constante, le motif d'un tel retrait ne doit pas être étranger à la bonne marche de l'administration communale. Ainsi, peuvent justifier le retrait des délégations, la mise en cause publique, en des termes vifs, de la politique suivie par le maire (CE, 29 juin 1990 susvisé), des dissensions apparues à l'occasion du vote du budget (CE, 11 octobre 1993, req. n° 128485), des différends sur la gestion municipale (CE, 29 juin 1994, req. n° 086654), les mauvaises relations entre le maire et son adjoint après que celui-ci ait pris publiquement position en faveur d'un candidat opposé au maire lors d'élections cantonales (CE, 25 octobre 1996, req. n° 170151), de mauvaises relations notoirement établies de nature à porter atteinte à la bonne administration de la commune (CE, 11 juin 1993, req. n° 105066), un désaccord manifesté lors du vote d'une délibération portant sur la suppression d'un emploi (CE, 11 octobre 1996, req. n° 147593), des désaccords persistants sur divers aspects de la gestion communale (CE, 4 juin 1997, req. n° 170749), de sérieuses dissensions portant sur le financement de la reconstruction d'un équipement entrant dans le domaine délégué à l'adjoint en cause (CAA de Nantes, 30 décembre 1998, req. n° 97NT02209), ou encore les mauvaises relations entre le maire et l'adjoint après un vote défavorable de ce dernier sur le budget primitif et sur la gestion d'un service public communal (CAA de Marseille, 5 juillet 2004, req. n° 02MA00729). En revanche, le juge a considéré que le retrait de la délégation apparaît comme ayant été inspiré par des motifs étrangers à la bonne marche de l'administration communale dans un cas où il s'agissait de donner suite à la volonté exprimée par la section locale du parti majoritaire au sein du conseil municipal de mettre en place une « nouvelle grille de répartition des responsabilités des adjoints, plus représentative des courants en présence » (CE, 20 mai 1994, req. n° 126958). Il en a été de même dans le cas, qui a fait l'objet de la décision du 7 août 2002 de la cour administrative d'appel de Paris (req. n° 98PA01545), où le retrait des délégations a paru au juge essentiellement inspiré par l'animosité du maire à l'égard de l'adjoint qui l'avait informé de divers dysfonctionnements mettant en péril les finances de la ville, les reproches à l'encontre de cet adjoint avancés par le maire ne paraissant pas en l'occurrence fondés.