samedi 28 février 2009

TOUS EN PARLENT SAUF LE PREMIER MAGISTRAT


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Jean Icart et Muriel Marland Militello font leurs propositions pour la prison de Nice

Pas assez de places, emplacement inadéquat : la Prison de Nice située dans le quartier Pasteur sera un des thèmes majeurs de la prochaine joute municipale. Muriel Marland Militello et Jean Icart s’expriment à ce sujet après Jacques Peyrat, Rudy Salles et Hervé Caël.
juillet
2007
Après les réactions de Jacques Peyrat, de Rudy Salles et d’Hervé Caël sur les divers problèmes et sur la nouvelle implantation de la prison de Nice, c’est au tour donc de Muriel Marland Militello, député UMP et Jean Icart de nous livrer leurs impressions sur l’établissement pénitentiaire urbain niçois de plus en plus inadapté à la vie du quartier dans lequel elle est installée.

Nice-Premium : que faire pour rapidement trouver une solution à la vétusté de la prison de Nice ?

Jean Icart : Il est évident pour chacun que la prison de Nice n’est plus adaptée et que son implantation n’est plus en adéquation avec le site actuel et avec les nécessités judiciaires.

La volonté de l’installer dans la Plaine du Var a été reconnue comme une erreur par le commissaire enquêteur lors de l’enquête publique réalisée en 2005, à la fois pour des raisons d’éloignement et d’existence de terrains privés. Elle est à l’origine des retards apportés à la recherche d’une solution, malgré son urgence.

J’ai participé activement à cette enquête et proposé un certain nombre de sites. J’ai d’ailleurs déjà saisi de mes propositions le Garde des Sceaux.

Muriel Marland Militello : Les détenus ont déjà participé de façon très efficace à la rénovation de beaucoup d’espaces (lieux de vie, cellules...). Voilà une solution rapide mais forcément transitoire.

NP : 3 prisonniers pour une place : comment en est on arrivé là ?

JI : Il convient de préciser tout d’abord que le problème posé doit être résolu dans le ressort du Tribunal de Grande Instance de Nice (donc à l’est du Var), celui de Grasse ayant déjà une prison citée en exemple.

MMM : La prison est surpeuplée parce que l’on a trop tardé à déplacer la prison et que la police et la justice ont très bien fait leur travail : arrêter les délinquants.

NP : où devra être implantée la prochaine prison et comment faire avaler la pilule aux voisins ?

JI : Le site doit répondre à plusieurs critères : celui de la facilité d’accès des familles, celui de la proximité du tribunal (vingt minutes maximum), celui enfin de la compatibilité avec le voisinage.

MMM : L’intérêt général doit primer sur les intérêts privés de quelques uns.

NP : quel serait votre projet pour la prison actuelle ?

JI : Fort de ces critères, j’ai trouvé différents terrains qui y répondent et que j’ai visités :

  • le pied du Mont Macaron (lieu-dit Les Thouars), terrain caillouteux, distant des habitations, qui pourrait être rendu accessible facilement depuis la pénétrante du Paillon, un chemin forestier existant déjà.
  • le Plateau de la Larre, terrain caillouteux, sans vis à vis, à proximité du stand de tir, la route existante devant être prolongée sur 500 m.
  • le plateau Tercier, terrain couvert de garrigue, qui doit être aménagé en zone d’activité, les aménagements routiers faisant l’objet d’une prise en charge dans ce cadre.

On peut également ajouter la carrière Lafarge, déjà viabilisée.

La plus part de ces sites relèvent du domaine public, la construction ne nécessiterait donc pas d’expropriation.

Les terrains libérés en ville pourraient être utilisés plus utilement par une opération type Jean Bouin, ou pour l’agrément du quartier, par un square qui en manque.

MMM : La prison actuelle pourrait être très avantageusement transformée en un lycée des métiers d’Art et une résidence d’artistes avec des salles d’exposition et de performances artistiques.

par Franck Viano

vendredi 27 février 2009

EXTRAIT EXTRA DE BLOG


DIALOGUE ENTRE ROSTIT ET ROSTOU
ou
PARLER POUR RIEN DIRE...

(désolé pour avoir une chance de comprendre la suite il faut être initié; et même dans se cas, ce n'est même pas complètement assuré, c'est dire combien Tartuffe a encore de beaux jours devant lui )



LUI:Il faut dire qu’à force de faire rire, on devient bouffon !
L'AUTRE:OU MÉRINDA
LUI: Ce n’est d’ailleurs pas donné à n’importe qui d’être un bouffon !
L'AUTRE :SURTOUT PAS AU ROSTOU
LUI: Et puis il y a les bouffons, les supers bouffons et les hors concours !
l'AUTRE: COMME IL Y A DES AIRES HORS JEUX
LUI: Les premiers sont ceux qui manquent d’imagination mais ils le savent !
POURQUOI LE ROSTOU A DE L’IMAGINATION ?
LUI: Les seconds sont affectés par les mêmes déficits mais ils l’ignorent !
PAREIL POUR LE ROSTOU !
LUI: C’est d’ailleurs très fou ce que l’ignorance peut faire comme dégâts !
L'AUTRE : COMME CEUX QUI IGNORE LEUR IGNORANCE !
LUI: Il est vrai qu’ignorer ce qu’on ignore, à la longue ça doit être éreintant !
SURTOUT ACCROCHÉ À L’ÉTAGÈRE DE LA VIEILLE ÉPICERIE !
LUI : Quoiqu’à La Trinité certains ignorent qu’ils ignorent ce qu’ils ignorent !
EN PARTICULIER À LA VIEILLE ÉPICERIE !
Et là mes aïeux je crois qu’il n’y a pas grand-chose qu’on puisse faire !
PAS MÊME SONT AÏEULE !
Ni pour eux ni pour celles et ceux qui s’y sont totalement assujetti(e) s !
EN TOUT CAS PAS À VICHY !
« Enfin » les bouffons hors concours sont totalement irrépréhensibles !
COMME LA ZONE BLEUE !
Non en raison de leurs qualités mais du seul fait de « leurs carences » !
ET INCOHÉRENCES DE LA ZONE BLEUE !
Ils ne sont pas très nombreux mais ils sont très « très perceptibles » !
COMME LES MONUMENTS HISTORIQUES CLASSÉS !
Et cette perceptibilité outrancière les rend très « très repérables » !
ET EN PRÉ-RUINES DU STYLES MAISON TAGNATI !
Et tellement « repérés » qu’on se félicite de les savoir « ailleurs » !
EN PARTICULIER PRENANT L’OXIGÈNE SUR LE PLATEAU TERCIER !
Cela dit il semble que leur « gérance » ne soit pas satisfaisante !
UN PEU COMME LES CAISSES DE LA COMMUNE !
Mais il est vrai que le risque lié à leur cooptation était considérable !
SURTOUT POUR L’ÉGLISE RUINIFORME EN DEVENIR !
Et maintenant les inventeurs de cette initiative vont devoir faire avec !
OU SANS ?
LUI : Et alors là ça va pas être du gâteau mes pauvres amis … !
L'AUTRE : PAS DE LA TOURTA DE BLÉA !
LUI : Pas du gâteau du tout !!
L'AUTRE : MAIS DE LA PISSALADIÈRA !
Mais tout ça s’inscrit dans l’imprescriptible logique des choses !
BIEN VU ROSTOU !
Et après tout, comme on dit, il faut de tout pour faire un monde !
ET ENCORE PLUS UNE COMMUNE !
Et celles et ceux qui sont allé(e) s les chercher devront assumer !
OU SEMER ?
Il faut dire que les facéties de ces « recruteurs » nous charment !
AVEC LA FLUTE, COMME POUR LE SERPENT !
Surtout quand ils se prennent (réellement) pour ce qu’ils ne sont pas !
ILS NE SONT PAS LES SEUL, LE PREUVE !
Et notamment lorsqu’ils en rajoutent pour s’efforcer de le démentir !
FACE AU BONNIMENTEUR C’EST TOUJOURS PLUS DÉLICAT !
C'est-à-dire de contester l’image d’imbéciles qu’on leur a faite !
OU EST LE MIROIR ?
Et dont l’indélébilité se confirme bien au fil des jours !
POUR LA LECON, REVOIR ENCORE UNE FOIS LE MIROIR !
S’ils savaient au moins à quel point ça les ridiculise davantage !
ILS NE SONT VRAIMENT PAS SEUL !
Néanmoins les plus idiots de ces ignares ont besoin de se rassurer !
POUR CELA IL REGARDENT LE 3V !
Et ça c’est d’autant plus légitime que leur image est époustouflante !
TOUJOURS LE 3V AVEC UN ROSTOU À TOUTES LES PAGES !
Bien sur « époustouflante » dans le plus mauvais sens du terme !
QUEL EST LE BON SENS (VOIR LE 3V) ?
En réalité ils tentent de prouver qu’ils ne sont pas ce qu’on dit d’eux !
QUE FONT LES « AUTRES », ILS SAVENT EUX ?
Mais peut être que c’est d’ailleurs ce qu’ils croient faire !
ILS NE DOIVENT PAS ÊTRE LES SEULS !

LUI: Bon vent et bonne journée…
L'AUTRE : LE MIROIR DÉFORME T IL VRAIMENT ?

mardi 24 février 2009

info média

Info média

Retrouvez les dernières interventions dans les médias des personnalités du Mouvement Démocrate:

- François Bayrou sur RTL le 21 février au Jounal inattendu en direct du salon de l'agriculture
www.rtl.fr/fiche/3509108/francois-bayrou-invite-du-journal-inattendu-au-salon-de-l-agriculture.html

- Jean-François Kahn sur France Inter le 23 février
www.mouvementdemocrate.fr/medias/kahn-france-inter-invite-europeennes-230209.html

- François Bayrou sur RTL le 18 février
www.mouvementdemocrate.fr/medias/bayrou-rtl-alba-ventura-180209.html

- Marielle de Sarnez sur France 3 dans l'émission La voix est libre le 14 février
Première partie : http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=m92a_lavoixestlibre1
et Seconde partie : http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=m92a_lavoixestlibre2&video_number=0

www.mouvementdemocrate.fr

lundi 23 février 2009

NOTRE APPEL A LA SOLIDARITE INTER COMMUNALE N'A PAS ETE ENTENDU

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Le 19 FEVRIER 2009 CONSEIL MUNICIPAL

Question écrite ;

Le 16 janvier 2009, je vous ai fait parvenir une demande d’inscrire une délibération en vue de soutenir la commune de Peillon dans sa volonté de prendre un arrêté règlementant la circulation sur son territoire, et de décider de s’associer à tout recours concernant l’arrêté préfectoral autorisant le projet de co-incinération à la cimenterie Vicat.

En effet vous ne pouvez pas ignorer qu’il convient d’achever l’étude portant sur la qualité de l’air dans la vallée des Paillons et sur ses incidences en matière de santé publique, avant toute décision quant au projet de co-incinération dans la cimenterie Vicat ou de tout autre projet pouvant être source de pollution dans notre vallée du Paillon.

A notre grand regret, nous constatons que vous ne voulez pas associer la commune à cette démarche qui conduirait à appliquer le principe de précaution devant les résultats officiels des mesures de la qualité de l’air dans les deux stations en fonctionnement dans les Paillons.

Cela est en complète contradiction les beaux principes que vous annoncez dans le Débat d’Orientation Budgétaire, nous faisant craindre que les principes énoncés se limitent qu’aux décors, sans se soucier de fond. Autrement dit les coccinelles et rien d’autre.

Sur tous les sujets d’environnement importants, d’antennes relais et de cheminées vous êtes absents.

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 19 FEVRIER 2009



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Le 19 FÉVRIER 2009

CONSEIL MUNICIPAL

VOTE DU COMPTE RENDU DU C.M DU 4 DEC 2008.

Je demande que soient retirés les propos qui me prêtent des habitudes d’abstention quasi systématique concernant mes votes des comptes-rendus.

« Je considère que nous sommes à la limite de la diffamation en essayant de prétendre que je m’abstiendrais pratiquement toujours de voter, pour ou contre, alors que j’ai la faculté de la faire ».

Ces propos sont inexacts et délétères, ils tendent à accréditer ou faire accréditer l’idée selon laquelle je ne suis pas pleinement maître de mes prises de positions et de mes agissements.

Monsieur Le maire, je vous demande instamment de retirer ces propos du compte rendu pour éviter tout incident. »

(Résumé de la Délibération N°1.) Débat d’Orientation Budgétaire 2009.

Lors du débat d’orientation budgétaire au menu du Conseil municipal du 19 février, nos questions, (sans doutes trop précises ou gênantes) au maire et à l’adjoint aux finances, n’ont pas eu la chance de recevoir des réponses. « Ecrivez aux services si vous voulez des réponses » (sic !), réponse du premier magistrat à nos demandes.

Jugées trop ennuyeuses nos questions et remarques ont porté sur la construction pourtant attendu par tous du gymnase et sont financement qui n’apparaît pas ainsi que le rappel de nos réserves émises à de nombreuses occasions à propos du terrain Récup’s Métaux, réserves sur les solutions envisagées par l’équipe majoritaire.

D’une manière générale le Débat d’Orientation Budgétaire n’a pas permis de nous éclairer, nous n’avons obtenu aucune réponse précise dans les domaines des résultats financiers et des prospectives de développement de notre commune ; Le flou et les effets d’annonces sont de mise sur tous les thèmes. Ils sont érigés en règle de gouvernance.

Notre question écrite, d’inscrire à l’ordre du jour du Conseil municipal, une délibération de soutien envers la commune de Peillon dans sa volonté de réglementer la circulation des camions de déchets sur son territoire vers les fours de la cimenterie ainsi que notre demande d’associer les élus trinitaires au recours concernant l’arrêté préfectoral autorisant le projet co-incinération Vicat, n’a pas été retenu, nous le déplorons.

A notre avis, les actions de l’équipe majoritaire, en faveur de la défense de notre environnement manque de détermination.

(Résumé de Nos remarques et observations sur les question)

Page 1, Vous dites, « Pour la zone Euro, le FMI table sur une croissance de 1,3 % en 2008 et revoit sa prévision à la baisse en anticipant une contraction de 0,5 % pour 2009. » Il suffisait de dire qu’en 2009 la croissance sur la zone Euro était prévue à 0,8 %. Ma remarque revient à dire qu’il suffisait de s’exprimer simplement pour être compris.

Page 2, Vous dites « certains aménagements pourraient permettre aux collectivités de respirer, telle l’autorisation de ne pas systématiquement adosser des reports d’emprunts à des engagements bancaires »

La signification possible (sous réserve de mon interprétation) concerne les lignes de trésorerie qui faisaient l’objet d’une convention avec les banques, un paragraphe dont la technicité m’échappe. Pourriez-vous, monsieur le maire, me donner des précisions Ou votre adjoint aux finances pourrait-il le faire?

Réponse du maire : « Vous n’avez qu’à écrire aux services, pour avoir les explications ! »

Ma réponse : « A quoi servez-vous donc ? »

Page 3 , Vous dites, « une situation qui devient de plus en plus difficile pour certains de nos concitoyens, ce qui doit conduire à allouer davantage de ressources à l’action sociale »

Parlez-vous de l’Action Sociale qui est de la compétence de la Commune ou bien d’une manière plus générale des services de l’Etat ? Pouvez-vous nous répondre et décliner les mesures envisagées en faveur des plus démunis de notre communauté?

Page 5, je regrette que le tableau que vous présentez dans votre document ne nous montre pas l’évolution de la dette communale à partir de 2000,

Celui que je laisse à votre disposition montre une évolution faramineuse de la dette

En 2000 / 13 828119,35 euros.

En 2007 / 19 448 307 euros, soit une augmentation de 39 % de la dette en 7 ans de votre gestion, tous les records sont pulvérisés.

LES COMPTES ADMINISTRATIFS de la commune de La Trinité



Evolution de l'état de la dette communale entre 2000 et 2007




au 31/12/2000

31/12/01

31/12/02

31/12/03

31/12/04

31/12/05

31/12/06

31/12/07









13 828 119,35

14 474 800,89

14 002 434,60

16 343 762,49

18 943 671,65

19 352 264,17

18 315 639,05

19 448 307,71 €









Page 8, Vous dites « Construction de la deuxième tranche du gymnase en partenariat avec le Conseil général dans le cadre du plan de relance 3 442 000 €.

S’agit –il de la partie du gymnase qui incombe à la commune ?

Et quelle est la nature de l’intervention du C-G ?

Comment comptez-vous financer cette construction puisque vous ne lancez pas d’emprunt ?

Nous attendons des réponses à toutes ces questions, réponses que nous n’avons pas eues

Question écrite ;

Le 16 janvier 2009, je vous ai fait parvenir une demande d’inscrire une délibération en vue de soutenir la commune de Peillon dans sa volonté de prendre un arrêté règlementant la circulation sur son territoire, et de décider de s’associer à tout recours concernant l’arrêté préfectoral autorisant le projet de co-incinération à la cimenterie Vicat.

En effet vous ne pouvez pas ignorer qu’il convient d’achever l’étude portant sur la qualité de l’air dans la vallée des Paillons et sur ses incidences en matière de santé publique, avant toute décision quant au projet de co-incinération dans la cimenterie Vicat ou de tout autre projet pouvant être source de pollution dans notre vallée du Paillon.

A notre grand regret, nous constatons que vous ne voulez pas associer la commune à cette démarche qui conduirait à appliquer le principe de précaution devant les résultats officiels des mesures de la qualité de l’air dans les deux stations en fonctionnement dans les Paillons.

Cela est en complète contradiction les beaux principes que vous annoncez dans le Débat d’Orientation Budgétaire, nous faisant craindre que les principes énoncés se limitent qu’aux décors, sans se soucier de fond. Autrement dit les coccinelles et rien d’autre.

Sur tous les sujets importants vous êtes absents.

vendredi 13 février 2009


Café Démocrate

Vendredi 20 février à 18h30 - La Trinité.

" Les perspectives induites par La Communauté Urbaine pour nos communes et les moyens d’action à mettre en place pour éviter les dérives?"

Bar Tabac, LE TRINITAIRE 85, Boulevard Général de Gaulle, La Trinité

(En face de la gendarmerie)

Venez vous informer et débattre librement. Contact 06 09 51 54 73.

Café Démocrate organisé par les membres de l’association « Ensemble pour La Trinité ».

mercredi 11 février 2009


Entreprise

Entreprise \ Impact local \ Santé

Antennes-relais : Bouygues Telecom condamné par précaution

Une première en France : une cour de justice a donné raison aux riverains d’une antenne-relai, au nom du principe de précaution. L’opérateur de téléphonie mobile Bouygues Telecom a été condamné à démonter l’une de ses antennes-relais, accusée de provoquer de nombreux maux dans son voisinage.

Pour la première fois en France, une cour de justice rend un arrêt concernant un risque sanitaire en vertu du principe de précaution. La cour d’appel de Versailles a confirmé, mercredi 4 février, la condamnation en première instance par le tribunal correctionnel de Nanterre de Bouygues Telecom. L’opérateur de téléphonie mobile devra démonter les installations d’émission-réception de l’une de ses antennes-relais, située à Tassin-la-Demi-Lune, en banlieue de Lyon (Rhône). Les riverains de l’antenne s’étaient plaints de maux de têtes, nausées, palpitations cardiaques, liés selon eux à la présence à quelques mètres de leurs habitations de cette antenne-relai appartenant à Bouygues Telecom.

Une application concrète du principe de précaution

Il n’y a pourtant dans le dossier aucune preuve tangible du lien entre la présence de cette antenne et les maux des plaignants. Mais, selon l’arrêt de la cour d’appel, « aucun élément ne permet d’écarter péremptoirement l’impact sur la santé publique de l’exposition de personnes à des ondes ou des champs électromagnétiques ». Autrement dit, on ne doit pas laisser fonctionner une antenne-relai si elle est soupçonnée – même sans preuve – de provoquer des problèmes de santé chez les riverains. C’est tout simplement l’application du principe de précaution, inscrit dans la Charte de l’environnement donc imposé par la loi, mais quasiment jamais appliqué en France.

« Bouygues Telecom ne peut pas garantir l’absence de risque sanitaire. Cela provoque une crainte fondée des riverains, qui constitue un “trouble du voisinage” au sens juridique » explique Marie-Pierre Maitre, avocate spécialisée dans l’environnement. Le dossier est comparable à l’affaire Alsthom, condamné à verser des dommages et intérêts aux personnes ayant été en contact avec de l’amiante, au motif qu’elles devront vivre avec la peur de déclarer une maladie liée à cette exposition. « Le démontage – et non simplement le déplacement – de l’antenne est sans précédent » affirme Me Marie-Pierre Maitre. Une jurisprudence est aujourd’hui possible, avec un renversement de la charge de la preuve, puisque c’est à Bouygues Telecom de prouver l’innocuité de son installation. De quoi inquiéter les opérateurs.

Les opérateurs surpris et inquiets

Dans un communiqué, l’Association française des opérateurs mobiles (AFOM), qui s’exprime au nom notamment des trois opérateurs nationaux, se dit surprise et perplexe. Elle rappelle avant tout que SFR, Orange et Bouygues Telecom ont des obligations de couverture du territoire vis-à-vis de l’Etat français, et demande donc que les « pouvoirs publics s’expriment clairement et fortement sur le sujet des antennes-relais et de la santé ». L’AFOM soutient que cet avis juridique « ne correspond à la position d’aucune autorité sanitaire nationale, ni à celle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ».

Les autorités sanitaires ne se sont certes jamais prononcé dans le sens d’un danger palpable des ondes électromagnétiques. L’OMS reconnait par exemple le syndrome d’Hypersensibilité électromagnétique (HSEM) – un ensemble de symptômes provoqués par l’excès d’ondes dans l’environnement – sans pour autant la relier à une exposition aux champs électromagnétiques. Mais de plus en plus d’études convergent vers un risque accru lié à la proximité des antennes d’émission-réception, voire à l’utilisation prolongée du téléphone portable. Le concept de syndrome d’intolérance aux champs magnétiques est déjà reconnu en Suède, et soutenu en France par l’éminent cancérologue Dominique Belpomme (voir article lié).

Prise en compte d’une « incertitude »

C’est d’ailleurs en se basant sur les avancées de la recherche sur la dangerosité des ondes que la cour d’appel aurait pris sa décision : « il ressort de la lecture des contributions et publications scientifiques produites aux débats et des positions législatives divergentes entre pays, que l'incertitude sur l'innocuité d'une exposition aux ondes émises par les antennes relais, demeure et qu'elle peut être qualifiée de sérieuse et raisonnable ». « L’incertitude et la crainte des habitants constituent des preuves suffisantes pour appliquer le principe de précaution » soutient Me Marie-Pierre Maitre. Au-delà de l’application du principe de précaution, on peut donc lire dans cet avis de la cour d’appel une prise en compte des inquiétudes des consommateurs, vis-à-vis d’un sujet encore mal maitrisé. Mais également, une prise au sérieux des symptômes dont ils souffrent.

L’association Priartém (Pour une réglementation des implantations d’antennes-relais de téléphonie mobile) a exprimé sa « joie » à l’annonce du verdict, et demande « aux parlementaires de se saisir du débat ». Agir pour l’environnement souligne que cet appel intervient alors que le Sénat s’apprête à étudier le projet de loi-cadre du Grenelle de l’environnement, qui, comme le projet d’application, « fait largement l’impasse sur la problématique des antennes-relais et plus globalement sur la question des expositions chroniques aux champs électromagnétiques à faibles doses ».

Bouygues Telecom a 4 mois pour démonter l’antenne, sous astreinte de 500 euros par jour de retard. L’entreprise devra également verser 7000 euros de dommages et intérêts à chacun des plaignants, trois couples de Tassin-la-Demi-Lune. Les avocats de l’opérateur examinent la possibilité de se pourvoir en cassation.

Rouba Naaman
Mis en ligne le : 05/02/2009

mardi 10 février 2009

CONFISQUER LES JARDINS PUBLICS

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LE SEUL JARDIN DU SECTEUR EST VERROUILLE INTERDIT AUX CHIENS ET AUX ENFANTS.

QUI A-T-IL DE PLUS INCROYABLE QUE CETTE PHOTO PRISE MARDI 10 FÉVRIER A 16 H 30 ? HEURE DE LA SORTIE DES CLASSES.

ELLE EN DIT LONG SUR LA RÉFLEXION DE NOS ÉLUS MAJORITAIRES; UN MÉPRIS TOTAL DES BESOINS DE LA POPULATION ET DES ENFANTS EN PARTICULIER.

« LE CENTRE COMMERCIAL EST LA PLACE DU VILLAGE » DISAIT-ELLE.

ILS SONT LES PAREILS !

“Les hommes de chez toi, dit le petit prince, cultivent cinq mille roses dans un même jardin... et ils n'y trouvent pas ce qu'ils cherchent...-... Et cependant ce qu'ils cherchent pourrait être trouvé dans une seule rose ou un peu d'eau...”

Antoine de Saint-Exupéry
Le Petit Prince (1943


DES POTEAUX DES BAGNOLES DU BÉTON DES CONTAINERS POUBELLES DES ARBRES TRONCONNES ..INVENTAIRE A LA PRÉVERT D'UN ENVIRONNEMENT URBAIN DÉGRADÉ PAR LE LAISSER ALLER GÉNÉRAL.
LA SPIRALE DU RENONCEMENT FONCTIONNE A PLEIN RÉGIME.

dimanche 8 février 2009

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LAISSER CROIRE QU'IL SERAIT POSSIBLE DE POUVOIR ARTICULER LES AXÉES DE LA CRÈCHE HALTE GARDERIE ET LA DÉPOSE DES PETITS ENFANTS EN SÉCURITÉ A QUELQUES MÈTRES DES SORTIES DES ATELIERS DU PÔLE TECHNIQUE, LE TOUT SUR UN AXE MAJEUR DE CIRCULATION,C' EST IRRESPONSABLE.
CETTE VOIE, LE CHEMIN DE L'OLIVAIE, SERT DE DESSERTE A UN DES PLUS IMPORTANTS CENTRE COMMERCIAL DU DÉPARTEMENT. IL N'Y A AUCUN DÉGAGEMENT SUFFISANT POSSIBLE.
COMMENT FAIRE POUR GÉRER LE STATIONNEMENT, UN JOUR DE CÉRÉMONIE AU CIMETIÈRE PAR EXEMPLE ?
LA QUESTION SE POSE POUR TOUS LES AUTRES JOURS AUSSI BIEN ENTENDU.

IL FAUT RAJOUTER LES PROBLÈMES DE STATIONNEMENT DES VÉHICULES DES EMPLOYÉS ET DE SERVICE QUE CELA VA CRÉER, ALORS QU'ILS SONT DÉJÀ COMPLIQUES AUJOURD'HUI.
QUID DES NUISANCES POUR LES RIVERAINS ?
IL EST VRAI QUE AVANT LA CRÉATION DE LA ROUTE DU CIMETIÈRE ACTUELLE, LES ANCIENS MONTAIENT LES CERCUEILS AU CIMETIÈRE A DOS D'HOMME. SERONS-NOUS CONTRAINTS DE REVOIR CELA ?

OUI, NOUS AFFIRMONS QU' IL EST POSSIBLE DE RÉALISER DES INFRASTRUCTURES QUI APPORTENT DES PROGRÈS POUR TOUS, PAS L'INVERSE.
ENCORE FAUT-IL ÊTRE CAPABLE D'ÉCOUTER ET D'ENTENDRE LES AUTRES, PAS CROIRE DÉTENIR TOUJOURS LA VÉRITÉ.

samedi 7 février 2009

Droit de réponse à l'article du maire du 3V 189.

Alors pollution oui ou non !




Constatez la densité de circulation sur le secteur de la future crèche un samedi matin ordinaire et vous pourrez imaginer la difficulté d'une déserte des enfants en voiture si le projet reste en l'état .


Cliquez sur les images pour les agrandir.


Bingo ! Nous avons encore gagné.

Le premier magistrat dans un numéro d’équilibriste jongleur de mots dont il a le secret, fait une tentative désespérée dans son article du 3V 188, pour faire croire qu’il maîtrise son sujet.

Nous lui parlons des prélèvements du SIVOM et il nous répond sur la crèche. De qui se moque-t-on ?

(Notez, chers amis, que nos articles même censurés par le manque de place mise à notre disposition, ont suffisamment de sens pour faire réagir presque à tous les coups notre premier magistrat).

C’est le jack pot assuré, notre meilleur agent publicitaire, c’est lui ! Celui qui parle le plus sans savoir répondre à la seule question que nous posons dans notre article intitulé : Prélèvements « Syndicat de commune » dans la tribune de l’opposition du 3V 188.

Lamentable tribune réduite à la portion congrue, alors qu’il s’autorise des réponses longues et fumeuses, mais qui répondent à côté …

Nous posons une seule interrogation dans notre article, c’est peu, alors pourquoi répondre n’importe quoi ? Trop occupé ailleurs pour répondre sur le fond, rien d'intéressant à dire, question trop embarrassante ?

En effet la question que nous posons dans notre article découle du constat que nous faisons, rappel : les impôts et prélèvements en direction du SIVOM ont augmenté fortement en valeurs cumulées depuis 2005 pour assurer les compétences transférées au SIVOM qui en assume la gestion ( voir notre tableau, article précédent)

Ces compétences transférées auraient dû permettre de baisser d’autant les prélèvements communaux. Or il n’en est rien, pourquoi ?

Voilà, la question est reposée, plus clairement pour obtenir enfin une réponse ?

Toutes les arguties et circonvolutions verbeuses dans la réponse qui sous-entendent ou qui voudraient sous-entendre que les élus d’opposition s’opposent à une crèche sur le territoire de la commune ne sont et ne seront que mensonges et mauvais procès.

Tout au plus nous sommes-nous permis de poser la question à plusieurs reprises et en plusieurs lieux différents, sur la pertinence de l’emplacement choisi. Est-ce un crime de lèse-majesté de demander des garanties ?

Cet emplacement est au cœur d’une circulation très dense. Nous avons interrogé les responsables politiques sur l’existence d’éventuelles études et résultats pouvant nous rassurer en matière d’exposition à la pollution du site.Sans réponse à se jour.

C’est tout de même grave, un projet à plus de 4 millions qui ne pose pas la question de l’exposition aux risques sanitaires.

Ce projet est quasi terminé. Alors pourquoi ne pouvons-nous pas disposer de résultats sur l’analyse de l’air dans le secteur de la crèche ?

Nous posons aussi la question sur les accès et déposes des enfants, plus exactement sur le problème des accès voitures. Ce problème nous a toujours semblé minimisé, il n’est toujours pas éclairci.

En tous les cas, la réintégration des services techniques sous le cimetière n’est pas de nature à « fluidifier » le problème, pour dire vrai, je pense qu’il est de nature à encore le compliquer. Nous ne pouvons pas nous satisfaire des réponses qui bottent en touche en disant qu’il ne faut plus venir en voiture dans le centre, comme cela a été dit.

En conclusion provisoire sur le sujet de la crèche, je terminerai en espérant obtenir des réponses claires et sans ambages aux problèmes que je pose en ma qualité d’élu qui aime sa commune et qui se soucie de son devenir.

Nous aborderons prochainement le bouclage financier du projet, qui poserait encore problème... Et pas qu’un peu, nous a-t-on dit !

La somme de 740 000 € manquerait encore au budget.

Pour un projet qui est en gestation depuis 2002 et qui était un des arguments électoraux, c’est étrange. Surtout que dans la même période une commune limitrophe a déjà bouclé son projet... depuis deux ans...alors qu’il a été initié plus tard que le notre.

Alors, monsieur Le maire, lisez correctement nos articles et répondez correctement aux questions posées ; si vous avez envie de polémiquer stérilement, cela vous regarde, répondez dans la colonne réservée aux groupes représentés au sein du Conseil. Trop facile de s’octroyer des pages complètes et de laisser « un timbre poste » en guise de place aux autres groupes pour répondre.

Le reste du journal 3V doit servir à informer les trinitaires sur la vie quotidienne de la commune, pas sur les polémiques partisanes et politiciennes. Si vous avez des révélations à faire sur vos impressions personnelles vous pouvez publier à vos frais , mais pas avec l'argent de la commune.

Nous vous en serons reconnaissants et la Démocratie en sortira gagnante.

Gilles Rainero

Conseiller municipal.

vendredi 6 février 2009

Prélèvements « Syndicat de communes »

La volonté de la majorité municipale de transférer au Sivom Val de Banquière de plus en plus de compétences, se traduit par un pourcentage appliqué à la taxe d’habitation et à la taxe foncière.

Ces pourcentages augmentent en fonction des dépenses du Sivom pour satisfaire les prestations liées aux compétences qui lui ont été transférées, sans pour autant diminuer les taux communaux pour ces mêmes dépenses, là est le problème sans réponse.

Le tableau présente la période allant des années 2004 à 2008.




SIVOM Val de

Banquière

Année

Taux Taxe habitation

Taux Taxe foncière

Augmentation taxe Habit.

Augmentation taxe Foncière

2004

19,84 %

15,21 %

0

0

2005

19,84 %

15,21 %

+ 2,46 %

+ 1,89 %

2006

19,84 %

15,21 %

+ 2,47 %

+ 1,89 %

2007

19,84 %

15,21 %

+ 2,22 %

+ 1,70 %

2008

19,84 %

15,21 %

+ 2,55 %

+ 1,95 %

Contrairement au discourt officiel, nous démontrons que les prélèvements augmentent fortement au fil des ans, nous en apportons les preuves.

Pour figurer en 2e place des taux les plus élevés sur la taxe d’habitation au classement des communes des A.M, pour quels résultats (NM du 19.09.2008).

Cela est-il un gage de bonne gestion ?

Chacun appréciera !

« Ensemble pour La Trinité. » Anne-Marie Bousquet et Gilles Rainero.

www.rainerogilles.blogspot.com

lundi 2 février 2009

Pétition du Planning Familial

signée par la LDH

Aux
côtés du Planning Familial,
défendons le droit à l'information,
à l'éducation, à la sexualité,
pour toutes et pour tous.

Pour signer la pétition, cliquez ici http://www.planning-familial.org/petition-defense-loi-neuwirth/


En diminuant de 42 % dans la Loi de Finances 2009 le montant affecté au conseil conjugal et familial, l’Etat programme à très court terme la suppression totale des actions d’information, d’éducation et de prévention dans les domaines de la sexualité et de la vie de couple et affective.
Par cette décision, l’Etat montre sa volonté d’abandonner les missions qui sont les siennes quant à l’accueil, l’information et la prévention concernant la contraception, la fécondité, la sexualité. Il se désengage, par là, de la préparation des jeunes à la sexualité, à leur vie de couple et à la fonction parentale. Il marque son désintérêt pour les pratiques d’accueil et de conseil, qu’elles soient mises en œuvre lors d’activités collectives ou d’entretiens individuels.

Ces missions d’utilité publique sont donc très clairement menacées par la baisse des financements, déjà largement insuffisants, alors que la Loi Neuwirth a clairement affirmé le rôle essentiel joué par les associations aux côtés de l’Etat.

Pourtant, dans une société où les relations filles-garçons sont de plus en plus marquées par la violence, où les campagnes nationales de prévention et d’information ont besoin des relais de terrain pour être efficaces, ces missions définies par la loi, plus que jamais, sont primordiales !

450.000 personnes bénéficient chaque année des actions du Planning Familial dans ses 70 associations départementales de Métropole et des DOM. La conséquence de cette brutale démission de l’Etat est la fermeture programmée d’un grand nombre de ces lieux d’accueil individuels et collectifs.


L’Etat doit assurer sa responsabilité nationale pour l’information, l’éducation à la sexualité, et la prévention pour toutes et tous conformément à l’article 1 de la Loi 73-639 du 11 juillet 73.

L’Etat ne doit pas supprimer les lieux d’écoute et de parole, mais les développer.

L’Etat ne doit pas supprimer les interventions collectives, mais les développer.

L’Etat doit donner aux associations qui assurent ces missions, les moyens aujourd’hui nécessaires, pour le développement de leurs activités et de leurs interventions.

Tous ces acquis sont récents, ces droits sont fragiles,

Nous avons lutté pour les obtenir,

luttons ensemble pour les défendre !

Vous souhaitez soutenir Le Planning Familial, signez la pétition.

Pour signer la pétition, cliquez ici http://www.planning-familial.org/petition-defense-loi-neuwirth/