vendredi 20 septembre 2013

3V N° 295

3V n° 295

Chers amis,
Vous avez comme moi, l'envie de réussir la mutation de la commune de La Trinité, retrouver le chemin de progrès social et du vivre ensemble. Il est effectivement temps de "se poser"  de réfléchir sur le moyen et long terme pour ce projet. De cette réflexion naîtra un succès ou un échec, selon les critères de qualité choisis à même de satisfaire les exigences d’intérêts publics, conformes aux vœux des Trinitaires. Les  errements constatés dans le passé, malgré les appels à la conciliation que nous avons fait sans résultats, nous ont conduits, pour limiter les dégâts, à engager des procédures auprès du tribunal administratif et revendiquer ainsi nos exigences de qualité concernant l’urbanisation de La Trinité.
Souvenez-vous, par mon action au Tribunal Administratif (T-A), février 2012, j'ai fait annuler la vente du bien communal de la SATEM, où l’équipe municipale voulait recevoir une carrosserie géante sur un site déclaré d’intérêt général.
En août, j’ai déposé une requête en annulation de la délibération du 27 juin 2013, approuvant la convention d’intervention foncière sur le site de la gare en phase d’anticipation, passée entre La Métropole, La Commune et l’Etablissement Public Foncier. La concertation n’était pas terminée puisqu’elle est en cours mais surtout, le Conseil Municipal n’a pas délibéré et approuvé le bilan de la concertation permettant de voir quels types d’aménagements doivent êtres mis en œuvre sur le site. De ce seul fait, la délibération serait manifestement illégale. D’autres points étayent ma requête, tels que le « saucissonnage du site en enjeu » alors que la concertation publique n’est pas terminée et que l’enquête publique envisagée n’a pas commencée, et une « précipitation » qui va à l’encontre des objectifs manifestés par la commune au travers de la délibération du 14 mars 2013. 
Trinitaires, les occasions de bien faire dans le domaine urbain, à la Trinité ne se présenteront plus très souvent, il faut donc les saisir sans plus tarder. 

Les conseillers municipaux Démocrates, Anna Bousquet et Gilles Rainero.

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