lundi 7 février 2011

Une pause de quelques jours, dans les images de Carnaval, pour publier une photo souvenir en hommage à ceux qui bâtissaient

"ECHO DU COUCOU"

"Bon c’est vrai qu’ils et qu’ elles nous l’avaient déjà dit, ils et elles ne disposent d’aucun antécédent académique et c’est la raison pour laquelle ils et elles sont contraint(e)s de faire avec, ou plutôt, même, et surtout … sans !"

COMME VOUS POUVEZ LE CONSTATER,
LE "COUCOU" DERRIERE SON BUREAU CONTINUE À NOUS EXPLIQUER COMMENT TOURNE LA TERRE,
"MA NOUN BOULÈGUA"
C'EST NORMAL, IL A UN "antécédent académique" HONORÉ D'UN "PARPAING DE PLOMB DE LARIANE"
"MA NOUN BOULÈGUA"
POUR MÉMOIRE, NOUS VOUS PRÉSENTONS UNE VUE, TRES PARLANTE, EXTRAITE DE L'ALBUM SOUVENIR "TRINITÉ 1977",
SIMPLEMENT POUR DIRE DE QUELLE "ACADÉMIE" ÉTAIENT LES 2 TRINITAIRES REPRÉSENTÉS SUR LA VUE?
PAR CONTRE ILS "BOULÉGUÉS"

4 commentaires:

Anonyme a dit…

ECHO DE LA LIMACE

« La Banquière fait entièrement partie de notre patrimoine historique et culturel ; elle alimentait autrefois les moulins, et recèle encore des sites naturels de toute beauté. C'est sans nul doute un affluent du Paillon qui doit être préservé et redécouvert », a rappelé Honoré Colomas, maire de Saint-André-de-la-Roche et président du Sivom Val-de-Banquière, lors de la signature du contrat de rivière des Paillons.
Antoine Véran, Alain Frère, Gisèle Kruppert et Jean-Louis Scoffié, maires des communes concernées, étaient également présents pour signer le fameux document, tous soudés autour des questions environnementales.
Cette signature marque une étape importante dans le long travail initié par le Syndicat intercommunal des Paillons (SIP) qui, en collaboration avec le Sivom, a défini 62 actions retranscrites dans le contrat de rivière. Celles-ci tendent vers un seul objectif : préserver le Paillon, ce fleuve aux cinq affluents qui prend sa source dans les pré-Alpes et vient se jeter dans la Baie des Anges."
Nice Matin 7-2-2011

RECIPROCITE???
LOU VAL DE LAGHET ESPERA

SCOURTIN Louis

Anonyme a dit…

La photo que vous présentez ici est "meurtrière", la vue de "nice matin" de ce jour, à propos de la "Banquière", est du "faire valoir", du "chauffage de chaise", pur jus de mures du vallon de l'Oli, de la Nuit, de la Fuonsanta, et Laghet.
C'est étrange de faire partie d"un "club" (le Sivom) si loin de la "maison", nos vallons accueilleront ou n'accueilleront-ils pas la réminta ? (pour la Fuonsanta c'est réglè, reste l'Oli ?).
Nous pouvons nous consoler, pour la réciprocité, en allant à notre vieux club plus que centenaire, le Cercle de l'Union, lui au moins il est fidèle.

Titi F.

Anonyme a dit…

Bravo, bravo et bravo,

Quel plaisir de voir cette photo, cela me rappelle l'époque ou à la Trinité il se passait quelque chose, mais c'est vrai qu'il y avait des acteurs qui avaient une forte personnalité, au point de réaliser des projets.
Je n'ai pas le souvenir que leur premier acte fut de vendre un bien communal, couper les tilleuls de la rue de l'Hôtel de Ville etc...
Bien au contraire, n'est-ce pas une honte de voir la zone Anatole France pratiquement à l'abandon (combien de créations d'emplois, de logements ?), et sur le "terrain Atia", avoir promis de faire, pendant la campagne des élections municipales, une maison de retraite spécialisée, et là encore l'abandon.
Il semblerait que pour certains ce soit une "technique", peut-être une réserve, une sorte de "congélateur" pour le foncier, qui sachons le ne sera pas perdu pour tous, ils compte sur le Sivon et "touticoanti", le fameux fantôme qui traîne sans être vu et attend le moment propice...


Pasnurge Olivier

Anonyme a dit…

Bel hommage,

Malheureusement nous avons perdu l'habitude de voir ces images,
ce n'est pas un hasard,
et vous avez raison de décerner le prix "PARPAING DE PLOMB".
Il y en a au moins un,
le principal concerné d'ailleurs,
qui comprenne le contenu de ce long message que de ce prix prestigieux.
Les rares initiés,
comprennent bien le pourquoi et le comment de l'état des finances de la commune,
le primé,
que vous nommez par ailleurs "orthodidactes",
peut continuer à ergoter dans "écho du coucou", cela ne change rien à son grand mérite de "fossoyeur" de la commune,
avec ou sans gesticulations verbiales.

Bécalin Louis de l'Oli